COMPORTEMENT DU CHERCHEUR

 Effectivement, le comportement du dchercheur d'emploi est de beaucoup, lorsque l'on est lancé dans le processus. Il est certes vrai de savoir se prendre en charge, par une hygiène de vie qui amène à présenter une image de soi très attirante. Ainsi il est important pour chaque sujet devant cette équation de vouloir se soumettre à la règle. 

L'hygiène de vie ne demande pas à avoir des ressources énormes ni de vêtements de grande marque; il suffit en fait de veiller à la propreté, partant des tenues vestimentaires au corporel lui même.

    Etre bien propre et dégager une image éclatente procure de l'assurance, mais aussi de l'aisance. L'on se fait remarquer facilement dans une foule, le patron qui cherche également sa perle n'est un novice en la matière.

   Quelque soit le domaine dans lequel on cherche, le premier rendez-vous est déterminant, c'est lui qi déclanche une envie chez le patron de vouloir vous entendre. 


   D'où la nécessité pour celui qui cherche de savoir se mettre en valeur.
Se mettre en valeur voilà le terme qui devrait habiter tout le monde à la quête d'une opportuité. C'est le premier coup d'oeil déterminant qui compte, et pour se faire il ya des astuces à savoir utiliser. Un exemple: lorsque vous convoitez une jeune fille et que vous voulez obtenir d'elle un rendez-vous ,comment vous vous prenez? 

    Vous pourriez être un très bon parleur, mais celà ne rime pas avec ce que vous ête réellement, cette entreprise que vous commencez n'ira pas loin. 
       
        C'est comme un CV que vous apportez dans une société, sa conception, sa présentation et son contenu doivent aller de pair, c'est pareil pour le chercheur d'emploi, la première impression c'est celle là qui compte. Ce que j'appelerais le catalyseur qui détermine le reste.

    FAIRE EVOLUER LES MENTALITES POUR AVANCER


 Dire que l'insertion est difficile, est une assertion qu'il faut voir dans les deux sens, pour comprendre l'opacité des paramètres qui bloquent l'ouverture des vannes soit du côté des entrepreneurs,ou soit du côté des demandeurs.

     Dans certains pays comme je l'observe, (en occident), aussi auprès des détententeurs des moyens de production, l'âgisme est une habitude, une pratique disqualifiante au détriment d'une catégorie de personnes jugées potentielles par le fait de l'âge.
    
        Le cas de la france et quelques autres pays riches pourtant l'accueil des personnes quinquagénaires est compliqué, du coût il se trouve que ces acteurs presqu'en fin de carrière soit se retrouvent à la touche sans raisons aparentes liées à la compétence. 

      Ces  personnes de leur côté se renferment par la force des choses dans cette logique, les amenant vers la déchéance et même le chao. Elles se résignent et perdent toute envie de faire des défits.

   Elles se voient   donc inutilisables dans la société. Ce qu'il faut alors c'est de "doper" ces personnes par une compagne d'information, mais aussi par  une prise de conscience des autorités, pour faire passer les lois, capables de renverser la tendance. Ne plus sombrer dans la culpabilité et l'inactivité tels sont les chemins pour l'avenir; les crédos à suivre.

      Etre capable de s'activer auprès des structures de bénévolat, créer des canevas, des passoires, dans lesquels  les entrepreneurs et les demandeurs pourront trouver de voies nouvelles de création d'activités.
     
   Changer la façon de considérer le quiquagénaire comme un produit fini, mais plutôt comme une personne détentrice de connaissances d'expériences transmissibles, et réutilisables.